Je dois vous avouer que j’ai été agréablement surpris lors du démarrage du jeu et de la prise en main. Bien que l’on ait eu une petite introduction avec une cinématique simple, on est tout de suite impliqué dans le jeu. On commence avec un tutoriel tout simple qui nous explique comment combattre, sauter, effectuer un Dash et un écrasement. Globalement on se sert de trois touches sur la manette. On pourrait s’y méprendre à une version classique et simplifiée de Crash Bandicoot. le principe reste quasiment la même à savoir partir d’un point A à un point B en combattant les ennemis et en ramassant des fruits. Nous nous déplaçons latéralement dans un classique jeu de plate-forme. Le jeu ne dispose que de trois mondes et chacun d’eux comportent des niveaux différents.
On pourra retrouver le niveau classique. Il n’y a aucune prise de tête. Le but est simple : arriver jusqu’au bout en survivants face à ses ennemis. On pourra ramasser des fruits qui, arrivant à 100, nous donnent une vie supplémentaire. Je dois vous avouer que la perte de vie est vraiment dû à une mauvaise manipulation ou si on est allé trop vite. J’ai terminé le jeu avec 98 vies.
Chaque monde dispose aussi d’un niveau qui s’intitule dojo. Ici il s’agit d’une simple épreuve qui est limitée dans le temps. Cette épreuve permet de gagner des tickets qu’on utilisera dans un autre niveau qui se débloque avec eux. C’est un niveau très simple dont le but est de ramasser un maximum de fruits qui sera converti en vies en fonction du nombre que vous possédez.
Lorsque vous jouez à un niveau classique, vous avez la possibilité de ramasser des plumes. Elles permettent de débloquer des niveaux alternatifs (beaucoup plus corsés). En plus des fruits et des plumes, on pourra aussi trouver des zones secrètes qui ressemblent beaucoup au dojo mais parfois beaucoup plus simple.
Chaque fin de monde se clôture par un combat de boss (toujours le même). On se déplace dans le niveau avec une particularité, c’est qu’on ne peut revenir en arrière et que le niveau avance. Ceci rend le jeu beaucoup plus dynamique.
On remarquera cependant le décalage de difficulté brutale entre le monde 2 et 3. Même si le jeu est prévu pour les enfants principalement, ce dernier monde reste frustrant. Il faut croire que les développeurs y ont pensé car un mode facile est inclût rendant le marsupilami insensible aux pièges et ennemis.
Ce que je n’avais pas spécifié dès le départ, c’est qu’on possède 3 coeurs. Si les 3 tombent, on perd une vie. Chaque niveau dispose aussi d’un checkpoint. Et dernier point, comme le jeu l’annonce depuis le début, on dispose de 3 marsupilamis différents dont on regrettera aucun changement de gameplay (attaque tourbillonnante, vol plané, protection…) si ce n’est qu’un changement de skin pur et dur.