D’une manière générale, les mécanismes dans Persona 5 reviennent sur le devant de la scène, tels que l’utilisation des Personae, l’équipe qui n’a presque pas changé et d’autres petites choses liées aux types de pouvoirs dont dispose l’équipe. Parmi les changements majeurs, on peut compter sur l’ajout de 2 personnages supplémentaires, une modification des liens, la mécanique du calendrier et les combats.
Les combats passent du simple tour par tour à un Musou. Comprenez par là qu’on se rapproche plus d’un Dynasty Warriors qu’un Final Fantasy. Nous nous lançons dans l’action en temps réel, parfois face à de petits groupes d’ennemis, parfois de vraies vagues avec des dizaines et des dizaines de monstres dans un style musou vraiment parfait. Petit plus qui apporte un bonus, c’est que Persona 5 Strikers donne la possibilité d’arrêter l’action pour viser calmement avec l’arme à feu ou avec l’un des pouvoirs de Persona actuellement utilisés.
En parlant de changement, ce qui ne change pas c’est l’obtention des personae. Joker a toujours la capacité de capturer de nouvelles Personae, d’exploiter leur pouvoir et de les invoquer sur le champ de bataille. Il peut toujours en créer de nouvelles par sacrifice ou les faire évoluer pour gagner de nouvelles attaques.
Le joueur, à chaque nouvelle infiltration de la prison, peut décider de mettre sur pied une équipe de 4 héros à choisir parmi l’ensemble du casting de Persona 5, y compris un nouveau personnage, Sophia. Ils sont tous jouables en usant du D-Pad et ainsi augmenter vos combos ou user de leurs pouvoirs face à certains monstres. On enchaîne donc les compétences, les assauts et autres attaques combinées. Chacun a sa propre arme, son propre style de combat et d’autres particularités uniques à jouer.