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   Temps de lecture :  2 minutes

The Lost Child, l’enfant des studios Kadokawa Games sera difficilement retrouvé par les personnes non anglophones car le jeu est en anglais exclusivement. Un mélange d’univers mythologique et religieux, des figures du christianisme comme Lucifer et Mickael sont présente pour ponctuer et influencer le cours de l’histoire, tout en respectant les écrits sacrés desquels ils apparatiennent. Cependant l’enfant mérite de rester perdu…

Sauvons l’humanité

Nous incarnons le jeune et beau « Hayato Ibuki » un journaliste spécialisé dans les sciences occultes. Lors d’une enquête sur une mystérieuse ombre provocant de nombreux meurtres dans le métro, Hayato est poussé sous un train par l’ombre invisible. Un étranger vient à son secours et lui confie une mystérieuse mallette, des lors il disparaîtra aussi vite qu’il est apparu. Sans transition il rencontre une demoiselle étrange nommé « Lua ». Cette jeune fille, (à la poitrine vraiment mais vraiment généreuse) se trouve être un ange envoyé par Dieu lui même afin de trouver l’élu. Tout ça pour sauver le monde d’un mystère maléfique qui menace l’extinction de la vie humaine. Équipé d’une arme mystique le : Gangour, Hayato vas dès lors pouvoir capturer les « Astral », des démons, des anges déchus et autres créatures afin de les purifier et les utiliser pour combattre à ses cotés. Ne vous inquiétez pas l’intrigue se révèle être le point essentiel du jeu est rapidement dévoilée après quelques heures de jeu.

Les « Pokemon » maléfique.

Chaque Astral à son élément( eau, terre, feu, etc.) , ses faiblesses et ses forces. Si les personnages principaux Hayato et Lua peuvent s’équiper et gagner des niveaux à travers les combats, les créatures quant à elles seront dépendantes des points de karma que vous gagnerez en éliminant des montres et en fonction des réponses que vous donnerez lors du déroulement de l’histoire. Chaque vermines que vous affronterez seront affilié a un type de karma, et que vous gagnerez en les tuant. Il y a le Bon, l’équilibré et le mauvais. Chaque démon de compagnie aura une affiliation à cette monnaie spirituelle et gagnera plus de point d’expérience en fonction du quel vous utiliserez, pour monter les niveaux. Ces créatures ont un niveau maximum qui varie selon le monstre et le dépassement de cette limite nécessite une évolution (et oui comme les pokémons) qui change à la fois leur puissance et leur apparence. Cependant (EVILve) le système d’évolution doit être utilisé avec intelligence car la créature retombe au niveau 1 après sa transformation. Une sorte de renaissance. Si vous n’avez pas le karma nécessaire pour refaire grimper les niveaux vous allez être dans de
sérieux beaux draps pour la suite des combats.

Des donjons ? Des labyrinthes oui !

Des donjons par nombre de 10 tout au long du jeu. Une carte qui se découvre au fur et à mesure que l’ont avance. Une déplacement à la première personne avec un système de case, un pas correspond a une case sur la carte. Pour l’immersion ? on oublie. Pour le coté agréable de l’exploration ? On oublie aussi. Ce jeu qui avait tout pour plaire sur le papier n’est en pratique qu’une redondance cyclique d’exploration de labyrinthe sans intérêts et à rouler sur des monstres par le manque de difficulté. Des heures à tourner en rond pour résoudre des mystère pas très compliqués. Très compliqué de rester accrochés a la manette lors de ces expéditions importantes pour l’histoire. Une fois le donjon parcouru on tombe sur le Boss qui durera au grand maximum 4 ou 5 tours. Une vraie plaie. Le seul vrai point positif de ces instances de combat, c’est de croisé des monstres. Le bestiaire assez conséquent vous donnera envi de faire tout les coins et recoins de ces derniers pour être le meilleur dresseur…(ah non je me trompe de jeu la…)

The Lost Child, l’enfant aussi perdu que l’intérêt de ce jeu

Sur PS4 ou sur Switch le jeu ne fatiguera pas vos consoles. Les animations quasi inexistantes, une répétitivité agaçante, le jeu entièrement en anglais. Kadokawa Games se tire une balle dans le pied. Ce jeu aurait un succès si il sortait sur iOS ou Android à 15 euros. Une interface rudimentaire et absolument pas intuitive. Des combats aléatoires de parcours beaucoup trop fréquents. Des énigmes vraiment simples. L’histoire pleine de mythologie avait tout pour faire un jeu merveilleux mais cette dernière à été bâclée… Dommage.

NOTRE AVIS

11
20

BONS POINTS

  • Un respect des mythologies et autres aspect religieux
  • Une vrai identitée visuelle des personnages
  • Une intrigue bien ficelée

MAUVAIS POINTS

  • Enigmes trop simple
  • Répétitif a souhait
  • Les combat peu stratégique

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