State of Decay 2 ne sera disponible que le 22 mai prochain sur Xbox One et PC (et dès le 18 pour ceux ayant opté pour la Deluxe Edition), mais grâce à Microsoft, on a eu l’occasion de le tester en avant première. Avant un test complet qui vous sera proposé le 17 mai sur notre site, voici un premier aperçu d’un démontage de zombie en bonne et due forme, à chaud, après 1h30 de jeu.
Avant d’entrer vraiment dans le vif du sujet, rappelons 2/3 choses. State of Decay 2 est le deuxième opus de la série, dont le 1er était sorti le 5 juin 2013 sur Xbox 360 et PC avant d’arriver en Year One Special Edition le 1er mai 2015 sur Xbox One et PC. Les deux opus sont développés par Undead Labs et édités par Microsoft Studios. J’ai commencé à jouer à State of Decay 1 sur ma Xbox One X seulement une semaine avant d’avoir la possibilité de jouer à SOD2 (que j’appellerai désormais SOD pour faire plus court), c’est donc rassurée que je me suis lancée sur ce dernier, confiante de connaître déjà les touches.
Sauf que, 1er point qui saute aux yeux dès la phase de didacticiel: certaines touches ont changé. Par exemple, la lampe torche et les feux des voitures s’allumaient en appuyant sur R, cette fois il faut appuyer sur L. Idem pour achever un zombie au sol, exit le LB+Y, place au RB+X. C’est assez déstabilisant, surtout pour moi qui avait pleinement mes habitudes, mais ça le sera peut-être moins pour le joueur qui n’a pas joué à SOD1 depuis un bail. En 1h30 de jeu, j’ai tout de même eu le temps de découvrir pas mal le jeu, suffisamment pour comparer les deux opus. Au niveau du gameplay, on peut donc constater quelques différences, améliorations et enrichissements. Premier point le plus flagrant: la nuit. Dans SOD1 elle était claire, dans SOD2 sans lumière (et même avec une lampe torche) vous ne voyez rien à 5 mètres (et vous ne voyez rien du tout dans certains bâtiments) et en véhicule vous voyez à 20/30 mètres grand maximum. Autant vous dire que l’ambiance est donc plus pesante, d’autant plus que l’on aperçoit parfois que les yeux rouges des zombies et ça donne tout de suite moins envie de foncer dans le tas.
Second point, la survie, qui est beaucoup plus poussée. Les ressources sont plus rares à trouver, moins nombreuses (si un sac de nourriture dans SOD1 apportait 15 rations, un sac dans SOD2 en apporte 3 ou 4), et les véhicules disponibles (dont il faudra surveiller la jauge d’essence) se comptent sur les doigts d’une main. Le problème c’est que votre base et vos occupants consomment pas mal (et gaspillent parfois), vous devrez donc partir à la recherche de matériaux assez souvent, ou opter pour une solution de facilité…
Autres grosses nouveautés de SOD2, c’est la peste et le mode Coopération. Concernant le 1er, dans SOD1, seules les infestations étaient à vaincre, et un personnage pouvait mourir s’il était assailli et n’arrivait pas à se dégager. Dans SOD2 c’est toujours possible de mourir comme ça, mais votre personnage peut aussi contracter la peste, qui, si elle n’est pas soignée rapidement le tuera à petit feu. Vous serez donc amené à détruire des cœurs de pestes pour éradiquer la maladie. Enfin, le 2e point est aussi un point notable, très attendu des joueurs. La coop reste finalement assez simple, puisque votre compagnon de guerre pourra contribuer à maintenir votre base en état, et pourra également collecter de l’influence pour sa propre partie.
Enfin, histoire de ne pas tout dévoiler, je vous dirais tout ce qu’il y a à savoir sur SOD2 dans un test plus complet, je vous donne rendez-vous ce jeudi 17 mai de bon matin. Avant de vous quitter, petit point sur les bugs que je compte sur les doigts d’une main en 1h30 de jeu et qui n’étaient en rien gênant; et sachez qu’on retrouve tout de même toute la mécanique de base de SOD1: faire prospérer la base, maintenir le moral des troupes au beau fixe, améliorer vos installations. En bref: survivre. Mais du moins qu’on puisse dire pour le moment: la surprise est bonne. A jeudi!
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